jeudi 20 novembre 2008

Le salon du livre est ouvert!

Eh oui, depuis hier, les agoraphobes livrophiles sont déchirés: céder aux livres ou reculer devant la masse compacte de visiteurs? Si votre horaire vous le permet, vous avez toujours la solution de vous y présenter tôt le matin (vous croiserez alors tout au plus quelques groupes scolaires). Sinon, eh bien, chaussez vos souliers les plus confortables, revêtez votre t-shirt le plus léger et munissez-vous d'un sac à dos bien rembourré pour ramener vos livres (achetés et/ou à dédicacer). Je n'y suis pas passée depuis des années (quand mes enfants étaient petits, nous y faisions un détour obligé et revenions toujours avec nombre d'albums) mais, là, peut-être que je craquerai, demain soir, en compagnie d'un ami... surtout que Catherine Mavrikakis, grand prix du livre de Montréal, y sera. Serai-je capable de résister? À suivre...

Une chose est certaine, je serai à la Nuit des Malaxeurs au Pharaon Lounge à 22 h, pour entendre de nouveaux auteurs (dont Neil Smith, Guillaume Corbeil, Annie Dulong, etc.) partager leur prose ou leur poésie.

4 commentaires:

Venise a dit…

Je vais y être demain, et j'ai quasiment un peu d'appréhension, y aura-t-il plus de monde que de livres ?
Je commence à être gâtée ici point de vue espace, et mon "vital" prend de l'expansion.

Mais on va faire avec, pour une passion dévorante que ne ferions-nous pas ? D'autant plus que j'assisterai à un atelier-conférence à 19 h 00 et sur les trois auteures de la tribune, j'en connais deux.

Et quand je dis, connaître, je dis connaître un peu plus que de nom ... c'est Julie Gravel-Richard et Mélanie Gélinas !

Jules a dit…

Si tu es dans le coin samedi, j'ai rendez-vous avec l'autre Julie et Karine:) à 13h30 devant le kiosque de Septentrion!

Anonyme a dit…

Je prévois au moins 2 shots de salon du livre cette année! Tant qu'à y aller, je vais prendre la passe de fin de semaine. Une fois, c'est jamais assez, anyway... et le sac vient trop lourd!! :)

Lucie a dit…

Venise: je t'y croiserai vraisemblablement.

Karine, Jules: pour samedi, je ne sais pas si je vais pouvoir me libérer... à suivre. Si je n'y vais pas ce soir, peut-être demain. À suivre!